Vendredi 22 août 2008 à 18:36

Habitué a vivre une vie a 100 à l'heure

Quand tout se calme et tout se stagne

 On ne sait plus quoi faire de sa peau.

On tourne comme un lion en cage.

 Ces moments beaucoup de gens les détestent

 Car ils provoquent des réflexions

 Qui cache parfois des interrogations

Plus profondes,

Certaines choses refoulées nous inondent,

Et on commence à se miner.

 On se recompte qu'une fois que l'on se pose sur notre vie

 Elle n'est pas tout à fait comme on l'avait rêver,

 Que l'on se voile la face sur certaine chose,

On se demande si des décisions précisent était les bonne.

 Bref  une véritable remise en question.

Souvent après on plonge dans une déprime

 Et on a du mal à s'en sortir.

Vendredi 22 août 2008 à 17:11

Quand le monde s'écroule autour de nos, on cherche une personne à qui se raccrocher.

On estime énormément cette personne,

 Elle compte à nos yeux

 C'est pour ça que l'on pense qu'elle trouvera les mots

Pour nos rassurer nos comprendre nos écouter sans juger.

 Cette personne nous dit souvent qu'elle tient à nous

 Et qu'elle sera là en cas de coup dur.

 Alors on y croit

 De façon aveugle et confiante.

 Et quand cette personne à besoin de nous

 On est présent

Car l'on est persuadé qu'elle ferait la même chose pour nous.

Et quand le jour

 Où tout s'effondre,

On appel cette personne

Elle ne répond pas.

 On laisse passer un peut de temps,

 Se disant qu'elle doit être très occupé pour ne pas répondre.

 Lorsqu'elle se décide enfin à nous rappeler

 L'oreille attentive que l'on a tant entendu n'est pas au rendez vous,

 Ni la compassion et encore moins le réconfort.

 Ca fait mal,

 On est déçut

 Parfois on en vient même a se demander se que l'on a bien pu faire

 Pour que tout le monde se détourne de nos.

On se retrouve alors seul

 Face a nos angoisses, nos peurs et nos doutes et notre tristesse.

Lundi 18 août 2008 à 15:07

J'ai pas tout vu

Pourtant j'avais tout lu

J'y ai pas cru

Et j'ai foncé droit dans le mur

J'avais tout prévu

Je l'ai cru

Mais j'ai pas pu

Alors j'ai perdu

Samedi 16 août 2008 à 19:52

Il y a plus d'un an j'ai fais la conéscence d'un garçon, on est très vite devenu de très bon ami. On a passé tous nos samedi ensemble à rire, à s'amuser, jusqu'au jour de ma fête où là l'amitié a laissé place à toute autre chose.

   Même si ça se voyait, même si sa se ressentait on a quand même été surpris.

Bien sur les histoires finissent mal et la notre n'y a pas échappé.

  Je lui en ai beaucoup voulu et lui m'en a beaucoup voulu aussi. Mais se qui est marrant c'est que l'on peut être plus d'un mois sans se parler mais dès que l'un ou l'autre est triste chacun fait son possible pour lui remonter le moral. Même quand tout le monde tourne le dos l'autre est là pour le réconforter. C'est assez étrange car on n'est là, parfois à la place de personne qui sont plus proche et qui, de ce fait aurait plus leur place.

De temps en temps on joue un peut aux « liaisons dangereuses » ça ne dure que deux heures et ça reste un jeux.

   Il aime me manipuler et moi aussi, je le connaît mieux que qui conque et je sais que dès lors où je l'ignore il revient bien vite, je m'occupe de lui puis il repart aussi vite. Ça se passe toujours ainsi. Le plus drôle c'est que je reste jalouse et que lui est resté possessif. On revient à chaque fois l'un vers l'autre.

Jeudi 14 août 2008 à 19:28

Le temps s'en va

Mais il n'emporte pas

Avec lui les blessures,

On les garde toute notre vie,

Avec de la chance  on arrive

À les enfouir.

Mais parfois,

Quand on s'y attend le moins

Elles refont surface

Et nous poignardent une énième fois.

Alors arrêtez

De me dire qu'avec le temps ça passera,

Ce n'est pas vrai.

Les blessures plus superficielles

S'en vont peut êtres

Mais celles qui nous touchent vraiment,

Celles qui sont importantes

Et qui nous font souffrir restent

Gravées au plus profond de nous même.

Elles ne partiront

Qu'avec notre dernier soupire.

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