Vendredi 18 novembre 2011 à 20:53

 Si le désir naît de ce que l'on ne peut avoir

Je ne veux jamais t'avoir

Que jamais l'on s'appartienne

Si j'aime être ta princesse deux heures par semaine

Je ne suis pas naïve tu ne peux rester ainsi plus longtemps

Tu aimes penser que tu me manipule

Et si je te le laisse le y croire

C'est parce que j'aime en faire autant.


Passion émotion et correction d'équation à la nuit tombante.


J'aime oublié qui je suis

Être pour quelque heure ta princesse

Et si c'est toi c'est parce que tu me considère ainsi

Avoir l'illusion d'être aimé à l'infinie.


Je te vexes tu t'en vas

C'est ça...

Tu reviens à chaque fois

Suivant le même schéma

Je pourrai t'anticiper à chaque fois

Mais j'aime te voir revenir en rampant

Pour de faire pardonner une encore une fois


Tu me prends tu me jette

et aussitôt tu me rappel

Tel un enfant gâté qui aura ce qu'il voudra

Et gentiment je revient au rappel

Comme une gentille bête docile qui ne tire pas de leçon

Du pièce grossier et facile d'un charment garçon.

Ce n'est pas par manque de dignité

C'est juste que j'y trouve une contrepartie.


Si on ne concrétisait je m'ennuierai et je partirai

Et soyons honnête tu ferais de même.

Je ne veux pas de découvrir dans le quotidien de la vie

Je veux que tu reste l'idéalisation de mon esprit

Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast